À partir de janvier 2020 et la parution de mon roman Du Rififi à Bucarest aux éditions Ex Æquo, je m’étais efforcé d’organiser de nombreuses rencontres avec des journalistes et des lecteurs.
Hélas ! Les mesures de confinement m’ont très vite contraint à devoir annuler la totalité de ces rendez-vous tant attendus.
Tant attendus en effet car ils me permettaient de sortir enfin de cette solitude d’écrivain et d’échanger avec d’autres personnes, en chair et en os, qu’elles aient lu ou non mon roman d’ailleurs.
L’une des rencontres les plus importantes devait avoir lieu le 15 avril à Bucarest, avec une soirée-enregistrement à la librairie Kyralina pour l’émission le « Son des mots ».
Ce jour-là, coincé chez moi, j’ai donc décidé, à défaut de pouvoir répondre aux questions en direct, de créer une sorte d’auto-interview virtuelle. Une interview en douze questions.
Soit une question inventée par moi, soit une question qu’une personne via les réseaux sociaux m’aurait posé.
En tout état de cause, je me suis toujours efforcé d’y répondre en une ou deux minutes maximum.
Vous pourrez retrouver sur ce blog l’intégralité de ces interviews ainsi que leur transcription au cours des prochaines semaines.
Bonne écoute et bonne lecture !
Voici la liste des questions :
2 – Un polar ? Mais avec quel arrière-plan ?
3 – Est-ce que toute l’histoire est tirée d’une histoire vraie ?
6 – Qui est Arthur ?
7 – Quelles sont les sources littéraires du « Rififi à Bucarest » ?
8 – Arthur est-il amoureux ? Est-ce un sentimental ?
9 – Quelle place a joué la langue roumaine dans l’écriture du roman ?
10 – Quelle est la place du cinéma dans « Du Rififi à Bucarest » ?
11 – Comment gère-t-on en tant qu’auteur un personnage qui n’est pas un personnage de fiction ?